5 juin 2018
Comme au premier matin du monde...
Au bord des vagues nonchalantes qu'apporte la marée,
Anselme Le Paroix est là, loin des bruits de la ville qui s'éveille,
Il est là, loin du tumulte des conflits roturiers...
Il rêve, assis, jambes pendantes au dessus du flot
Le coeur tressaillant d'une paisible émotion
Dans la douce pénombre de la nuit qui s'achève.
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